La conception de l’implantation d’une ferme d'élevage bovin et porcin nécessite une étude sérieuse sur quelques points primordiaux. L’analyse doit partir des possibilités pécuniaires. On en introduit ensuite l’idée d’endroit. Finalement, on ne néglige pas ce qui touche surtout l’alimentation de ces animaux domestiques.
Les constituants normatifs de l’alimentation des bovins et porcins
Pour avoir un bon rendement, il faut savoir bien concevoir la nutrition animale partant des divers constituants de l’alimentation des bestiaux , en exclusivité les aliments porcs. Elle doit contenir essentiellement des minéraux et vitamines. Ces deux éléments améliorent aussi bien la production et la reproduction, que le vêlage, et même l’immunité des bovins et porcins. D’autres composants méritent d’être présentés, tels le phosphore, le calcium et le magnésium. Les audits élevage concernent avant tout le suivi de la comptabilité correspondant à ces produits. Le phosphore impacte le développement du squelette de l’animal, la croissance et la production laitière. Le calcium développe la fonction musculaire, sanguine et entretient les composants du lait. Enfin, le magnésium s'occupe du métabolisme énergétique et musculaire. Par ailleurs, le sodium assure l’influx nerveux et du sang. Il récupère la perte d’appétit en cas de carence. Tous ces produits doivent se trouver dans les centres d’élevage, ou chez le vétérinaire, tout comme ce qui concerne l’alimentation volaille.
L'alimentation des porcins
Etant « omnivore », l’organisme du porc s’adapte à tout produit d’origine animale ou végétale. En principe, les élevages français mettent en valeur, concernant les aliments porcs, des produits végétaux connus pour leurs qualités nutritives. Ces produits se présenten, sous forme de farine ou de granulés. Les céréales, les huiles et les minéraux constituent la base fondamentale de leurs aliments. Comme leur estomac sont de petite capacité, il leur est nécessaire de prendre plusieurs repas dans la journée. A la naissance, le porcelet doit consommer du colostrum, lui procurant l’anticorps qui garantit sa survie au début. Au sevrage, ses aliments sont composés d’un mélange de poudre de lait avec du blé et des céréales. Après 4 mois et demi, le porc parvient à obtenir un poids stupéfiant tournant autour de 115 à 120 kg. En outre, les produits délaissés et non utilisés par des entreprises alimentaires, mais encore propres, intéressent le porc. On retrouve notamment les tourteaux, les produits brisés tels le pain, le riz, des semoules ou encore du son de céréales. Tous ces éléments constituent les matières premières porcs.
L’alimentation des bovins
L’alimentation des bovins requiert un bon équilibre alimentaire. Sa ration journalière doit être respectée si on veut s’attendre à un bon rendement. L’exigence touche aussi bien le côté qualitatif que quantitatif. Des conseils méritent d’être analysés, ceci dans le but de se rendre compte de la notion d’alimentation équilibrée. C’est le fourrage qui doit être la base principale des aliments bovins. Qui dit « fourrage », quelques types viennent intervenir : les fourrages plus ou moins séchés, les fourrages secs, les fourrages verts, les fourrages récoltés, les fourrages ensilés et les fourrages secs. Afin de pouvoir espérer un résultat tangible relatif à la croissance de la bête, tout éleveur doit concevoir une alimentation bovine en quantité très suffisante de ces fourrages, selon les types énumérés précédemment et pris comme matières premières bovins. Si on essaie de concrétiser un peu, les 80 % de l’alimentation sont constitués de ces fourrages. Malgré tout, la consommation n’en est pas du tout suffisant, au point que la carence alimentaire s’accentue toujours, sans l’intervention des compléments alimentaires que sont les constituants composés de vitamine, d’énergie et de protéines. Enfin, 100 litres d’eau aident l’animal à affronter une bonne digestion. Pour complément d’aliment, le bœuf a besoin encore de minéraux bovins qu’on peut trouver dans les boutiques relatives à l’élevage ou chez le vétérinaire.